En proie à la corruption, à la mauvaise gestion et à la vétusté des équipements, les raffineries pétrolières publiques du Nigéria actuellement en pleine rénovation, n’ont traité que 2 % de leur capacité. A l’issue des travaux qui ont déjà coûté 367 millions $, la gestion reviendra au secteur privé.
Réagissez à cet article