Il s’agit de la South Nyanza (Sony), Miwani, Nzoia, Chemelil et Muhoroni.
Si la réforme a été lancée depuis 2015, une cour a ordonné à la Commission de la privatisation de reprendre la démarche afin d’impliquer plus de parties prenantes comme les gouvernements des comtés. Depuis lors, le processus de privatisation est à la traîne avec deux sucreries qui sont en phase de liquidation judiciaire.
Plus globalement, il faut noter que l’exécutif envisage également d’imposer une nouvelle taxe frappant les consommateurs pour mobiliser des ressources en faveur du développement de la culture de la canne à sucre.
Pour rappel, le Kenya a produit environ 440 000 tonnes de sucre et en a importé 458 000 tonnes en 2019.
Source Agence Ecofin février 2020
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