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Fiona Urbain
6 mai 2021 Dernière mise à jour le Jeudi 6 Mai 2021 à 09:59

A l’occasion d’un webinaire organisé par l’association Racines Sud, le Club Afrique Occitanie et le cabinet Simon Associés, Ecomnews Afrique a pu interviewer Clare Hart, Vice-présidente de Montpellier Méditerranée Métropole en charge des relations internationales. Quels sont les enjeux du Sommet Afrique-France qui se tiendra début juillet à Montpellier ?

Initialement prévu en juin 2020 à Bordeaux, le Sommet Afrique – France a été profondément repensé à la suite de la crise sanitaire. Profitant de ce changement, Montpellier s’est positionné pour accueillir l’événement les 8, 9 et 10 juillet prochains.

« Nous avons une réelle ambition de construire une nouvelle histoire avec l’Afrique, basée sur des relations saines, vertueuses, gagnant-gagnant » explique Clare Hart. 

Ce Sommet mettra au centre du jeu les acteurs de la société civile : entrepreneurs, intellectuels, chercheurs, artistes, sportifs, etc…

À travers ce format inédit, le Sommet aura pour ambition de poser un regard neuf sur la relation Afrique – France, nourri de ce qui constitue le caractère unique des relations entre l’Afrique et la France : le lien humain. À ce titre, les diasporas franco-africaines et la jeunesse de France auront un rôle particulier à y jouer.

L’engagement de Montpellier à accueillir le 28ème Sommet Afrique – France témoigne de l’ambition de s’investir dans un partenariat d’avenir avec l’Afrique, au-delà des bordures de la Méditerranée, et de contribuer ainsi au rayonnement de ses acteurs économiques, culturels, universitaires.

« L’international est une chance pour notre territoire, et nous avons des atouts indéniables qui nous emmènent vers la Méditerranée et l’Afrique. C’est une évidence que nous devons nous tourner vers le sud. » Les liens sont déjà présents à travers les milieux universitaires, de la recherche et le médical. 

« Ce Sommet offrira la possibilité à nos entreprises de tisser des liens, aller chercher des contacts, et nouer des relations avec les entreprises africaines afin de pouvoir travailler ensemble ».

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