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#Accord #France #International #Afrique #AfriqueDuSud
Agence Ecofin
28 juin 2023 Dernière mise à jour le Mercredi 28 Juin 2023 à 14:14

Entre 2020 et 2021, le nombre de cybermenaces s’élevait à 230 millions en Afrique du Sud, faisant du pays la 3e victime de cybercriminalité au monde, selon Interpol. Afin de rendre plus sûr leur cyberespace, le gouvernement entreprend des initiatives de coopération avec des partenaires.

L’Afrique du Sud et la France ont signé un accord de coopération pour lutter contre la cybercriminalité. C’est ce qu’indique un communiqué du gouvernement publié le 19 juin.

Cet accord vise à renforcer les capacités de l’Unité spéciale d’enquête (SIU) en cybercriminalité. Il permettra également de créer une académie de lutte contre la corruption à Tshwane, une municipalité de la province du Gauteng. 

Cette académie pourra serviraussi bien à la SIU qu’à d’autres organismes chargés de l’application de la loi et de la lutte contre la corruption au sein de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et des pays membres ou non du Commonwealth.

« Ce type de coopération sera donc certainement d’une grande valeur et d’une grande aide pour nous, en tant que pays, afin d’améliorer nos compétences et d’être en mesure de lutter contre la cybercriminalité dans le pays. Cela renforcera la confiance dans le climat d’investissement dans notre pays, car notre cyberespace est sûr et si quelque chose se produit, nous aurons les moyens d’enquêter », a déclaré Ronald Lamola (photo), ministre de la Justice et des Services correctionnels.

La cybercriminalité est l’un des défis de développement auquel est confrontée l’économie de ce pays d’Afrique australe. Selon le rapport d’Interpol sur l’évaluation des cybermenaces en Afrique, en 2016, la cybercriminalité a coûté 573 millions $ à l’économie sud-africaine.

L’organisation policière a aussi souligné qu’entre janvier 2020 et février 2021, 230 millions de menaces ont été détectées en Afrique du Sud, faisant du pays la troisième victime de cybercriminalité au monde. Ce chiffre représente un coût de 2,8 milliards $ par an, a-t-elle ajouté. 

Face à cette situation, le gouvernement sud-africain a adopté un projet de loi sur la cybercriminalité entré en vigueur le 1er décembre 2021.

L’Afrique du Sud et la France ont signé un accord de coopération pour lutter contre la cybercriminalité. C’est ce qu’indique un communiqué du gouvernement publié le 19 juin.

Cet accord vise à renforcer les capacités de l’Unité spéciale d’enquête (SIU) en cybercriminalité. Il permettra également de créer une académie de lutte contre la corruption à Tshwane, une municipalité de la province du Gauteng. 

Cette académie pourra serviraussi bien à la SIU qu’à d’autres organismes chargés de l’application de la loi et de la lutte contre la corruption au sein de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et des pays membres ou non du Commonwealth.

« Ce type de coopération sera donc certainement d’une grande valeur et d’une grande aide pour nous, en tant que pays, afin d’améliorer nos compétences et d’être en mesure de lutter contre la cybercriminalité dans le pays. Cela renforcera la confiance dans le climat d’investissement dans notre pays, car notre cyberespace est sûr et si quelque chose se produit, nous aurons les moyens d’enquêter », a déclaré Ronald Lamola (photo), ministre de la Justice et des Services correctionnels.

La cybercriminalité est l’un des défis de développement auquel est confrontée l’économie de ce pays d’Afrique australe. Selon le rapport d’Interpol sur l’évaluation des cybermenaces en Afrique, en 2016, la cybercriminalité a coûté 573 millions $ à l’économie sud-africaine.

L’organisation policière a aussi souligné qu’entre janvier 2020 et février 2021, 230 millions de menaces ont été détectées en Afrique du Sud, faisant du pays la troisième victime de cybercriminalité au monde. Ce chiffre représente un coût de 2,8 milliards $ par an, a-t-elle ajouté. 

Face à cette situation, le gouvernement sud-africain a adopté un projet de loi sur la cybercriminalité entré en vigueur le 1er décembre 2021.

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